Blanche Biau se plonge dans un passé inaccessible dans son premier album, « Maraudé », sous influence Dark-Wave et Shoegaze. Un abandon infini créé sur des pistes de danse illimitées et brumeuses remplies de mélancolie. Ses textes passent de l’anglais à l’allemand et au français car toutes ses émotions ne peuvent pas être exprimées de manière égale et honnête dans toutes les langues. C’est donc tout naturellement qu’elle interprète une musique dans laquelle on se perd, seule sur scène, complètement immergée dans ses propres synthétiseurs et ses mélodies de guitares.